Le temps des solidarités
Ils sont chef, créateur, auteur, associatif, tous bénévoles. À priori, rien ne les destinait à s’engager dans ce combat contre le coronavirus, si ce n’est l’envie d’aider. De participer à l’effort collectif aux côtés de celles et ceux qui sont, au front, tous les jours, en contact avec le public ou les malades. Si la crise a pu révéler les pires des instincts, bassement, terriblement et simplement humains, elle sera aussi le précipité de ce que les Femmes et les Hommes peuvent produire de meilleur. Naturellement et simplement humain.
Par Caroline Ettori
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